Cochonnes, cochons, bonjour ! Le numéro 2 de ma revue de cul en ligne La Pornographie est prêt. J'espère que les trous sont bien dilatés et lubrifiés, et que les dards sont tendus à mort ! Avant les articles à venir très prochainement, je vous propose la couverture, l'édito et le sommaire. Et je vous le promets, il y a déjà largement de quoi mouiller et juter ! Je vous souhaite comme toujours le bon cul.
Monsieur de Cul
Doubles baises
Par rapport au numéro 1, vous constatez que mon trou de balle s’est bien écarté, et encore je ne l’ai pas lubrifié ni ramoné, c’est du 100 % derche bio… Et comme promis, en couverture, je me fourre un doigt bien au fond du cul ! Mais j'arrête tout de suite la poésie, et passons sans tarder au sommaire de ce numéro 2 de La Pornographie.
Le thème central nous ramène aux fondamentaux (et surtout aux fondements) de la baise, tout ce qui se fait à deux, les pipes, les léchages de glands, de founes et d’anus, les défonces de trous dans toutes les positions, les partages de foutre et de jus de moules… J’ai tenu à remettre un portfolio sur les godes (« Godes à go-go »), car justement ils répondent toujours présent même si on est seul(e). Il fait la part belle à la notion de couple ou plutôt de paire, entendez paire de godes que l’on se fourre dans les deux trous, ou pourquoi pas dans un seul. On peut aussi charger sa ou son partenaire de se servir des godes pour obtenir les mêmes effets qu’avec des gros chibres bien durs !
À propos de grosses pines raides, je consacre ensuite un premier article à ces pétasses que sont les tarlouzes. C’est « L’heure des tantes », avec des queues qui percent des trous avides et qui crachent leur crème partout.
« À suce-queue et à bouffe-con », je trouve que ce titre illustre bien la position du 69, parfaite incarnation de la baise en couple hors bourrage de trous. Quoique, ça consiste souvent à une lubrification des founes, des anus et des chibres avant de bons vieux ramonages et des récoltes de jus de couilles. Et vous le verrez, le 69 concerne aussi les gouines adeptes d’arrosages abondants.
Enfin, chez nos salopes, les trous vont aussi par paires, d’où un portfolio intitulé « Rêves de trous » pour conclure ce numéro. Des moules gluantes et des trous de balles ouverts, à lécher, bouffer, doigter, fister, engoder et tarauder à n’en plus finir, il y a en effet de quoi alimenter les rêves de tous les queutards !
Voilà, en attendant les articles, une photo de ma pine qui vient de larguer sa crème de couilles... à consommer sans attendre ! J'aime bien avaler mon foutre quand il est frais alors je dois vous laisser !